31/12/2016
Quelques jours chez Patrick Dubost...
... dans sa maison de campagne du Haut-Beaujolais, pour une formation au logiciel de son "Reaper".
Pauline Catherinot & Kenny Ozier-Lafontaine, juste avant que je ne les jette dans le coffre de mon break pour les emmener chez Patrick.
Patrick (& Béatrice Machet au boulot) devant LA maison.
Vue imprenable sur le cul de ma voiture.
Judith Lesur (& Zéphyr)
Autour de la table, dans le sens des aiguilles d'une montre ; P.Dubost, B.Machet, Claude Yvroud, P.Catherinot, J.Lesur & Catherine Serre
Kenny Ozier-Lafontaine (aka Paul Poule) entre C.Yvroud & P.Catherinot
Les chats d'en face.
Mon outil de travail, très tôt le matin, sur un plan de travail encombré mais qui n'a jamais aussi bien mérité son nom.
00:00 Publié dans où sont rangées diverses notules incasables | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : dubost, patrick dubost, judith lesur, pauline catherinot, catherine serre, kenny ozier-lafontaine, claude yvroud
13/01/2016
C'était... ma lecture aux Sarrazineurs...
17:15 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : katia bouchoueva, paola pigani, sarrazineurs, claire terral, crefad, catherine serre
14/10/2015
C'était le Cabaret Poétique du 11 octobre 2015...
Et devinez où cela s'est déroulé ? Dans le même lieu magique que d'habitude...
Quelle invitée se cache derrière ce livre ?
Pierre Evrot
Laurence Loutre-Barbier
Catherine Serre
Gérard Torres
Marlène Tissot
Merci au Périscope et à l'Unipop !
Toutes ces photos sont signées Denis Svartz. Son site.
00:05 Publié dans a.5) ANIMATEUR DU CABARET POETIQUE | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : catherine serre, pierre evrot, marlène tissot, le périscope, le cabaret poétique, laurence loutre-barbier, gérard torres
07/10/2015
Ce dimanche...
Le Cabaret Poétique rouvre ses portes !
Autrement ? Il s'est passé quelque chose cette semaine ?
" Le patronat n’a pas besoin, lui, pour exercer une action violente, de gestes désordonnés et de paroles tumultueuses ! Quelques hommes se rassemblent, à huis clos, dans la sécurité, dans l’intimité d’un conseil d’administration, et à quelques-uns, sans violence, sans gestes désordonnés, sans éclats de voix, comme des diplomates causant autour du tapis vert, ils décident que le salaire raisonnable sera refusé aux ouvriers ; ils décident que les ouvriers qui continuent la lutte seront exclus, seront chassés, seront désignés par des marques imperceptibles, mais connues des autres patrons, à l’universelle vindicte patronale. [...] Ainsi, tandis que l’acte de violence de l’ouvrier apparaît toujours, est toujours défini, toujours aisément frappé, la responsabilité profonde et meurtrière des grands patrons, des grands capitalistes, elle se dérobe, elle s’évanouit dans une sorte d’obscurité. »
Jean Jaurès, discours devant la Chambre des députés, séance du 19 juin 1906.