28/04/2017
Dis, Tonton, pourquoi tu...
08:57 Publié dans où je trouve à rire | Lien permanent | Commentaires (0)
27/04/2017
Si j'en crois les ondes du Service Public...
13:22 Publié dans LyonnÈseries, politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : lyon, macron, franquin
26/04/2017
Invitation citoyenne
09:11 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : coup de torchon, tavernier, bertrand tavernier, jean-pierre marielle, philippe noiret
25/04/2017
Triomphe des pharisiens
Dans l'ordre, dans un certain ordre des choses...
06:31 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : daran, dormir dehors
24/04/2017
Submergée
09:21 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : brigitte macron, coup de torchon
23/04/2017
Consigne de vote
08:52 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : mandryka
22/04/2017
Evelyne "Salope" Nourtier
Ou bien c’est onze heures avant midi le
ciel est tout bleu, ou le peu qui peut
en être vu est vraiment très bleu ; le linge
sèche vaillamment sur les cordes, il y a parfois
des pigeons qui se jettent avec un cri de
poupée déraillée. Quelquefois presque – dans ce rêve – un avant-reflet
du soleil sur les carreaux blancs d’une arrière-cuisine.
Mais c’est plutôt vers cinq heures l’après-midi ;
c’est du retiédi. La brosse des chiottes frissonne
dans sa vibration personnelle, c’est à un moment
très précis de l’après-midi, je l’ai dit…
l’heure du retiédi. – On ne sait pas ces
choses. Ces choses n’existent pas. Il
n’y a rien à savoir. – Souvent on en apprend plus
dans deux mètres-cubes de chiottes que dans n’importe
quel amphi de fac (évidemment l’exemple est assez
mal choisi) – même dans un haut lieu en plein air.
00:00 Publié dans C’est quoi, la poésie ? C’est ÇA, Ducon ! | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : le poteau rose, evelyne salope nourtier, louisa ste storm, ivar ch'vavar, sophie rambert
21/04/2017
Remise à niveau (english) # 66
08:48 Publié dans où je trouve à rire | Lien permanent | Commentaires (0)
20/04/2017
Mise en jambes
il y a quelques années
le prix goncourt a été attribué à un bon écrivain
pas à un poète bien évidemment
mais à un romancier
capable de tenter des choses avec la langue
sans oublier de raconter une histoire
je me souviens de passages très drôles dans son livre
ironisant sur le sort des chiens esquimaux
et sur les coulisses de l’art contemporain
mais peut-être que je confonds tout
que je lis trop
(premier texte rédigé après l’opération, encore dans le coltard, à la Clinique Protestante de Caluire... Etat présent de mon esprit ? En trois mots ? Vive la drogue.)
00:00 Publié dans a.2) MES TEXTES | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : jean échenoz, six semaines d'arrêt de travail