Où je sais me faire des cadeaux

Commentaire de ma fille trouvant ce livre de Bukowski dans la boîte aux lettres :

- Mais... Il savait vraiment écrire qu'en anglais ?!

 

C'était le Cabaret Poétique du 12 mars 2017

Avant...

(Le grand) Lyonel Trouillot

Maya (la bien nommée) Ombasic

Isabelle Fruleux & Patrick Chamoiseau

 

(photos de Josette Vial)

Prochain Cabaret Poétique le 16 avril, avec Samira Negrouche, Béatrice Machet, Gilles Farcet et Jindra Kratochvil (au Périscope, à 17 heures, entrée gratuite).

 

"Rouvrir le roman"

L'écrivain justifie son existence quand il ne dit pas la même chose que le journaliste, le sociologue ou la confidence amicale. Il devra peiner longtemps pour parvenir à saisir cette chose, et souvent il n'y réussit qu'inconsciemment, et qu'imparfaitement. Un écrivain, comme une société, comprend lentement ce qui lui arrive.

Sophie Divry

 

Vous trouverez...

... le texte que j'ai écrit à quatre mains avec Jérôme Leroy à Nantes ("Nos poètes sont tous des héros de roman noir") dans le dernier numéro de "L'Indic" !

 

"Le simple fait de tracer de nouveaux itinéraires..."

Il faudrait s’effacer, disparaître une bonne fois pour toutes. Pas question de suicide, ici, évidemment. Non, s’en aller. Je ne sais pas si « s’en aller » est le mot juste. La distance géographique n’est pas nécessaire, pas forcément. Pour commencer, habiter dans un autre quartier, si la ville est assez grande ; cela suffirait, au moins dans un premier temps. Il y aurait un nouvel appartement, une nouvelle maison, un autre jardin, une autre vue sur les toits, les arbres, le clocher des églises…

Le simple fait de tracer de nouveaux itinéraires me rendrait presque invisible, ce qui serait un bon début. La forme de la ville changerait, les visages croisés également. Il faudrait jouer avec les horaires aussi, ne plus sortir aux mêmes heures. Cela pourrait satisfaire un moment cet impérieux besoin d’être ailleurs et autrement.

Ne prévenir personne, ne pas faire de grandes annonces, éviter le pathos. 

 

Jérôme Leroy, « Un peu tard dans la saison »

 

 

Dernière occasion de voir "VPV !" à Lyon

L’exposition Visages d’une poésie vivante ! est maintenant installée sur les Quais et est visible jusqu’à la fin du mois.

Les derniers rendez-vous (gratuits) sont proposés le mardi 21 mars !

 

Du 20 au 31 mars, Université de Lyon, Pôle Universitaire des Quais - 92 rue Pasteur à Lyon

Mardi 21 mars

12h30-13h30 déambulation poétique autour de l’exposition avec le poète Frédérick Houdaer.

UNIVERSITÉ DE LYON, 92 RUE PASTEUR, LYON 7

19h Présentation et visite poétique de l’exposition avec les poètes Samantha Barendson et Frédérick Houdaer.

UNIVERSITÉ DE LYON, 92 RUE PASTEUR, LYON 7

20h30 Soirée « Poésie dans le noir » avec les poètes Samantha Barendson, Frédérick Houdaer et Girish Patel.

MAISON DES ÉTUDIANTS, 25 RUE JABOULAY, LYON 7 

 

"La poésie..."

"La poésie vous fait la peau plus douce."

Al Swearengen

"Un peu tard dans la saison"

Quand un livre vous parle presque trop... que ça en devient inquiétant... que ça tourne au roman plus que "culte"...
Qu'est-ce qu'il y a, au-delà du roman ? Ben, la poésie. Et par-delà la poésie ? Ben, le roman. Et au dessus de, en-deçà des...

J'ai toujours rêvé de décorer la sortie de secours d'une fac de droite

... ça se passe à Lyon 3, donc. Manufacture des tabacs. La "Manu". Oui, là où pointent les plus jolies étudiantes de la ville.

Autrement ? Le mardi 21 mars, de 12h30 à 13h30, je vous proposerai une déambulation poétique autour de l'exposition "VPV !". Cela se passera à l'université de Lyon (92 rue Pasteur). C'est gratuit.

A 20h30, je serai à la Maison des Etudiants (25 rue Jaboulay) en compagnie de Samantha Barendson. Nous vous proposerons une "lecture dans le noir", également gratuite.