30/04/2017
« une vision du monde dangereuse pour l'État, décadent et moderniste, avec des études inaccomplies »
Juge : Quelle votre profession ?
Brodsky : je suis un poète.
Juge : Mais qui vous reconnaît comme poète, qui vous a enrôlé dans les rangs des poètes ?
Brodsky : Personne. Et qui m’a enrôlé dans les rangs de l'humanité ?
Juge : Avez-vous étudié pour être poète ?
Brodsky : Cela ne s'apprend dans aucune école. Cela est, cela vient de Dieu.
11:00 Publié dans C’est quoi, la poésie ? C’est ÇA, Ducon ! | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : brodsky
29/04/2017
"THE WITCH" (2016)
08:10 Publié dans où je zieute des images qui bougent | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : marianne preindelsberger stokes, sorcière, the witch, robert eggers
28/04/2017
Dis, Tonton, pourquoi tu...
08:57 Publié dans où je trouve à rire | Lien permanent | Commentaires (0)
27/04/2017
Si j'en crois les ondes du Service Public...
13:22 Publié dans LyonnÈseries, politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : lyon, macron, franquin
26/04/2017
Invitation citoyenne
09:11 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : coup de torchon, tavernier, bertrand tavernier, jean-pierre marielle, philippe noiret
25/04/2017
Triomphe des pharisiens
Dans l'ordre, dans un certain ordre des choses...
06:31 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : daran, dormir dehors
24/04/2017
Submergée
09:21 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : brigitte macron, coup de torchon
23/04/2017
Consigne de vote
08:52 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : mandryka
22/04/2017
Evelyne "Salope" Nourtier
Ou bien c’est onze heures avant midi le
ciel est tout bleu, ou le peu qui peut
en être vu est vraiment très bleu ; le linge
sèche vaillamment sur les cordes, il y a parfois
des pigeons qui se jettent avec un cri de
poupée déraillée. Quelquefois presque – dans ce rêve – un avant-reflet
du soleil sur les carreaux blancs d’une arrière-cuisine.
Mais c’est plutôt vers cinq heures l’après-midi ;
c’est du retiédi. La brosse des chiottes frissonne
dans sa vibration personnelle, c’est à un moment
très précis de l’après-midi, je l’ai dit…
l’heure du retiédi. – On ne sait pas ces
choses. Ces choses n’existent pas. Il
n’y a rien à savoir. – Souvent on en apprend plus
dans deux mètres-cubes de chiottes que dans n’importe
quel amphi de fac (évidemment l’exemple est assez
mal choisi) – même dans un haut lieu en plein air.
00:00 Publié dans C’est quoi, la poésie ? C’est ÇA, Ducon ! | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : le poteau rose, evelyne salope nourtier, louisa ste storm, ivar ch'vavar, sophie rambert