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20/07/2016

Avant Sète...

Question(s) du jour :

Quand/où finit la perf' poétique,

et quand/où commence... la frime ?

img500-Roma-acquedotto-Appio-Claudio-set-del-film-La-Grande-Bellezza-del-regista-Paolo-Sorrentino.jpg

J'attends vos réponses en commentaires de cette notule...

 

 

Commentaires

En tout cas cette photo ne manque pas de poil.

Écrit par : Emanuel | 20/07/2016

Issue de "La grande bellezza", Emanuel ! L'un des meilleurs films de ces dernières années.

Écrit par : Frédérick Houdaer | 20/07/2016

Bernard Deglet me faisait justement remarquer (à Lodève 2016) que dans les festivals de poésie on a peur des mots. Plus particulièrement du mot "poésie". Alors on y ajoute de la musique, de la danse, de la perf... pour faire passer la pilule. Pour répondre à ta question, si la poésie a besoin d'un support visuel pour exister, c'est que c'est raté.

Écrit par : Melchior | 20/07/2016

Eh oui.... certains préfèrent le buz au sens.... mais "chut" ce n'est pas nouveau. ;-)

Écrit par : LASSABLIERE | 20/07/2016

parfois (quand "ça marche") les mots se suffisent à eux mêmes ...sur la page ! mais lorsqu'il s'agit de "lecture publique" - id est de mise en "spectacle" du poème - le plus souvent les mots , ces pauvrets , ne suffisent plus : par expérience de "spectateur-auditeur" je me fais chier au bout d'une dizaine de minutes max . Ginsberg avait pigé le truc il y a longtemps : il fallait que "quelque chose" se passe en plus des mots du poème . "Frimait"-il ? et Bukowsky ? frimait -il ? oui bien sur pour les deux : mais leurs "lectures publiques" n'étaient pas chiantes ! et sur les pages leurs mots se suffisaient oh combien ! et ils savaient tous les deux qu'ils faisaient leur cirque quand ils lisaient en public et ne s'en cachaient pas .

Écrit par : roger | 20/07/2016

Pour l'anecdote, Roger, j'ai assisté à une lecture de Ginsberg à la fin des années 80, à Lyon, dans une librairie... spécialisée dans le polar ("Choc Corridor") !

Écrit par : Frédérick Houdaer | 21/07/2016

Les commentaires sont fermés.