20/07/2016
Avant Sète...
00:00 Publié dans où mon taux d'adrénaline augmente | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : la grande bellezza, lodève, sète
UA-136760349-1
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
« "PARDON MY FRENCH" lu par Michel Thion | Page d'accueil | CHEZ ZUCKERBERG »
00:00 Publié dans où mon taux d'adrénaline augmente | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : la grande bellezza, lodève, sète
Commentaires
En tout cas cette photo ne manque pas de poil.
Écrit par : Emanuel | 20/07/2016
Issue de "La grande bellezza", Emanuel ! L'un des meilleurs films de ces dernières années.
Écrit par : Frédérick Houdaer | 20/07/2016
Bernard Deglet me faisait justement remarquer (à Lodève 2016) que dans les festivals de poésie on a peur des mots. Plus particulièrement du mot "poésie". Alors on y ajoute de la musique, de la danse, de la perf... pour faire passer la pilule. Pour répondre à ta question, si la poésie a besoin d'un support visuel pour exister, c'est que c'est raté.
Écrit par : Melchior | 20/07/2016
Eh oui.... certains préfèrent le buz au sens.... mais "chut" ce n'est pas nouveau. ;-)
Écrit par : LASSABLIERE | 20/07/2016
parfois (quand "ça marche") les mots se suffisent à eux mêmes ...sur la page ! mais lorsqu'il s'agit de "lecture publique" - id est de mise en "spectacle" du poème - le plus souvent les mots , ces pauvrets , ne suffisent plus : par expérience de "spectateur-auditeur" je me fais chier au bout d'une dizaine de minutes max . Ginsberg avait pigé le truc il y a longtemps : il fallait que "quelque chose" se passe en plus des mots du poème . "Frimait"-il ? et Bukowsky ? frimait -il ? oui bien sur pour les deux : mais leurs "lectures publiques" n'étaient pas chiantes ! et sur les pages leurs mots se suffisaient oh combien ! et ils savaient tous les deux qu'ils faisaient leur cirque quand ils lisaient en public et ne s'en cachaient pas .
Écrit par : roger | 20/07/2016
Pour l'anecdote, Roger, j'ai assisté à une lecture de Ginsberg à la fin des années 80, à Lyon, dans une librairie... spécialisée dans le polar ("Choc Corridor") !
Écrit par : Frédérick Houdaer | 21/07/2016
Les commentaires sont fermés.