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12/03/2024

Salon Magnifique Livre

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Ce week-end, je signerai deux de mes livres (CHEZ ELLE & DURES COMME LE BOIS) sur le stand des Editions Sous le Sceau du Tabellion.
 
De plus, ce vendredi-samedi et dimanche, je tiendrai le stand des Editions Le Clos Jouve.
 
Au plaisir de nous y retrouver...
 

25/11/2023

Signatures ce samedi, de 14 à 17 h !

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Lors du salon du livre organisé Salle des Woraces (2-4 rue Camille Jordan Lyon 1er) par Les plumes de Lyon et parrainé par Marc Lambron, sur le stand des Editions Sous le Sceau du Tabellion, Judith Wiart et moi nous signerons notre recueil de nouvelles DURES COMME LE BOIS. Je signerai également mon roman CHEZ ELLE

 

21/07/2023

Mauvaise pente

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Jeudi 27 juillet, avec Judith Wiart & Grégoire Damon, j'inaugurerai le festival MAUVAISE PENTE à la libraire Le Livre en Pente (X-Rousse).
On annonce de "la poésie arrache tripes et arrache rires"....
Le casting me paraît parfait pour cela.

 

20/07/2023

Il y a cinquante ans...

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... un petit dragon nous quittait dans des conditions étranges.

Pour lui rendre hommage, le 20 juillet, avec mes camarades Lung'sPoetry, Grégoire Damon (Fast Food, éd. Buchet-Chastel), Stéphane Libert & Zacharie Gaudrillot-Roy, nous proposerons une petite perf' poétique à L'Abat-Jour, une chouette galerie croix-roussienne !

 

19/07/2023

Tant que certains passagers du bus...

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Tant que certains passagers du bus, au moment où il emprunte un pont, savent quitter leur portable des yeux pour mater le fleuve… tout n’est pas foutu !
Je m’inclus bien évidemment dans cette notule.

 

04:57 Publié dans LyonnÈseries | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : lyon, rhône, bus, portable

05/07/2023

Radicalité des tags croix-roussiens

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Parfois, un repentir...

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10/06/2023

"qu'est-on ?"

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Quand on aime la lumière (au point d’en avoir un besoin vital), et pas forcément la chaleur, qu’est-on ? Un gars du nord ou du sud ? Un lyonnais (d’adoption) ?

 

(Image : Pierre Boaistuau,1560)

 

25/05/2023

Sur le trottoir...

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Au sortir d'un rendez-vous poétique en hommage à l'éditeur Yves Artufel (de son vivant), cette photo d'anthologie prise devant le tunnel de Perrache où le Gang des Lyonnais a braqué un fourgon il y a longtemps.
De gauche à droite, donc (ou à peu près) : Emanuel Campo, Sammy Sapin, Fabien Drouet, (Chéri-)Bibi, Jean-Baptiste Happe, Grégoire Damon, Pauline Catherinot, Judith Lesur, Yves Artufel !

 

22/05/2023

Lyon en mai

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Ce soir, je marchais dans Lyon, qui est une ville magnifique- elles ne le sont pas toutes- et c'était un moment vraiment précieux, et assez beau. J'ai vu des tas de villes, j'ai même vécu dans certaines, et toutes ne sont pas si belles. Mais je suis venu dix ou quinze fois à Lyon et je vois ses collines, ses bâtisses parmi les arbres, la tenaille de ses fleuves, le plaisir si doux de ses apéros au bord de l'eau, ses rues cossues (rien n'est bourgeois comme Lyon) ses rues lourdes de vin et de charcuterie, et les autres aussi, rues sèches au contraire, comme des cicatrices. J'ai retenu tout ça. Vraiment, ça n'est pas rien, une bonne ville, qui a des boutiques, des charcutiers, des rades, des brasseries, des voyous et des piscines et même des îles, de la jeunesse dans tous les coins et des parcs où manger une glace, des péniches et des ponts, un opéra dont on se fout, une gare infâme et de l'eau qui coule, comme coulent les vies sur les quais et dans les rades justement. Et ce soir, alors que mai se prenait pour juillet, la vie était particulièrement spacieuse et facile sur les terrasses de Lyon. On aurait pu se croire ailleurs, tellement la vie, pour un soir, était fruitée, ouverte, quémandeuse, presque italienne, voire pire. Il n'y avait plus ni masque ni menace imminente. Et les gens, ouais les gens, s'étaient retrouvés. Or tous prenaient un plaisir affreux à s'être retrouvés de la sorte, à l'heure où la bière est moins chère et la lumière ténue, et pour tout dire, comme tous ces endroits où l'on va bien, ce soir, Lyon ressemblait assez au centre du monde. 
 
Nicolas Mathieu (mai 2022)