31/03/2016
Dans le dernier numéro de la revue "DéCHARGE"...
... mille et une pistes à remonter, comme d'habitude.
Des textes inédits signés Grégoire Damon, une critique d'un recueil de ce même Damon chez Gros Textes...
Une autre critique, des "Poèmes géographiques" de Thierry Radière au Pédalo Ivre...
Et une critique de mon essai consacré à Corbière aux éditions Le Feu Sacré ! Je recopie celle-ci :
« Ce qui intrigue au début, c’est le format. Plus petit que Polder (9,5 X 12,5), avec une tranche épaisse. Egalement l’objectif de la collection (les Feux Follets) qui demande à un auteur de défendre à sa façon, son livre, le livre qui a été majeur dans ses lectures. Donc le titre récapitule l’ensemble de la chose. Il n’est pas simple de parler d’un livre qui parle d’un livre… Tristan Corbière, auteur d’un seul livre (500 exemplaires, à compte d’auteur), fait partie de ses poètes singuliers, voire énigmatiques du XIXe siècle. Sa vie fut particulièrement courte. Il vit et meurt à Morlaix. Frédérick Houdaer évite, et comment, le pensum qu’un universitaire aurait pu écrire. Il déroule, mine de rien, la bio du poète. Récit jalonné par un dialogue savoureux avec Cindy-Jennifer. Donc éloge décontracté, avec le style d’un auteur de polar, ou tombeau souriant. L’auteur arrive avec brio à son but : donner envie à son lecteur de replonger dans ce recueil atypique : les amours jaunes, dont le titre baroque coiffait une œuvre insolite. » Jacmo
23:47 Publié dans a.1) MES LIVRES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : décharge, revue décharge, corbière, editions le feu sacré, jacques morin, claude vercey
30/03/2016
C'était le Cabaret Poétique du 6 mars 2016
16:33 Publié dans a.5) ANIMATEUR DU CABARET POETIQUE | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : gilbert brun, xavier lassablière, hervé le tellier, yvon le men, ahmed kalouaz, pauline catherinot, le périscope, le cabaret poétique
28/03/2016
"Mieux vaut un poème ..."
Témoignage de Philip Caputo sur le décès de son ami Jim Harrison :
" We found him on the floor of his study, where he'd fallen from his chair, apparently from a heart attack. He'd died a poet's death, literally with a pen in his hand, while writing a new poem "
Mieux vaut un poème qu’une patte de dinde sanguinolente dans votre boîte aux lettres. Peu de gens vous diront le contraire. Robert Creeley déclara un jour (…) : « La forme n’est jamais davantage qu’une extension du contenu ». C’est juste et sage. Nous choisissons ce qui nous sied et préférons ne pas porter ce qui ne nous va pas. N’essayez pas d’enterrer un cheval dans un cercueil humain, même si vous adoriez ce cheval, ni de coller quelque merveilleux papillon muet, de jour ou de nuit, dans une caverne humide. Je déteste ce mot, mais la forme doit être une révélation « organique » du contenu ; sinon, le poème, aussi vivant soit-il, nous donnera une impression de frelaté, de fabriqué – un exercice élégant, un travail de crochet, une pâle broderie.
Jim Harrison (trad.B.Matthieussent)
16:26 Publié dans C’est quoi, la poésie ? C’est ÇA, Ducon ! | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : harrison, matthieussent, lointains & ghâzals, forme, poésie, cheval, papillon, organique
Parutions très prochaines au Pédalo Ivre...
Je vais chercher les premiers exemplaires chez l'imprimeur dès lundi, de façon à les amener à Cadenet le week-end prochain, pour "Les beaux jours de la petite édition" (éditeurs à l'honneur : Lunatique & Harpo).
06:26 Publié dans a.4) EDITEUR | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : jean-pierre andrevon, gilles farcet, le pédalo ivre, les beaux jours de la petite édition
27/03/2016
Le 27 mars (1973), Brando refusait l'Oscar...
... Pas n'importe comment.
08:31 Publié dans Ephéméride | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : marlon brando, brando, oscar
25/03/2016
" Jean aimait... "
« Jean aimait Teresa qui aimait Raymond
qui aimait Maria qui aimait Joachim qui aimait Lili
qui n’aimait personne.
Jean partit aux Etats-Unis, Teresa au couvent,
Raymond mourut dans un accident, Maria resta vieille fille,...
Joachim se suicida et Lili se maria avec J.Pinto Fernandez
qui n’avait rien à faire dans cette histoire. »
Carlos Drummond de Andrade
00:29 Publié dans carottages littéraires | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : carlos drummond de andrade
24/03/2016
from Belgium...
08:41 Publié dans où mon taux d'adrénaline augmente | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : belgique, attentat, arno, tc matic
21/03/2016
TAT-SOUIN...
07:28 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : le sacre du printemps, printemps
19/03/2016
Qui fait l'éditeur ? Qui fait l'auteur ?
09:18 Publié dans où je trouve à rire | Lien permanent | Commentaires (0)