29/05/2014
Une nouvelle critique !
" Avec Frédérick Houdaer, on est dans le court-circuit permanent et cela dès l’exergue de ce livre où voisinent deux citations, l’une de Witold Gombrowicz et l’autre de … Walt Disney ! Un peu plus loin dans le recueil, le journal L’Equipe est en balance avec le dernier recueil de poèmes de l’un de ses amis. Disons que c’est peut-être à cela que l’on reconnaît vraiment un poète affranchi des règles de bienséance dictées par le poétiquement correct. Mais tout cela ne doit pas masquer l’originalité de cette parole actuelle qui ose faire bouger les lignes tout en témoignant de menus faits d’une existence déchirée. Il s’interroge sur le pouvoir que peuvent avoir les poètes face aux situations complexes. « A quoi servent les poètes ? » s’interroge-t-il, et lui, parmi les autres, doutant, observant ses semblables lors de rencontres poétiques ou dans une file d’attente à la CAF, s’interrogeant depuis 44 ans comme il le signale dans l’émouvant dernier poème du livre. Et même si Houdaer déclare « n’écrire que pour quelques-uns », sa poésie est très ancrée dans le réel et pas seulement à la Croix-Rousse à Lyon où plane le fantôme ricaneur de Pierre Autin-Grenier pour qui l’éternité est toujours inutile."
Georges Cathalo, revue Texture
Commander l'ouvrage ? ICI
16:59 Publié dans a.1) MES LIVRES | Lien permanent | Commentaires (0)
27/05/2014
Bébert sur la Canonnière du Yang-Tsé
08:25 Publié dans où je trouve à rire | Lien permanent | Commentaires (0)
26/05/2014
Et ça ne vaut pas qu'en politique...
" Si on te crache à la gueule, ne dis pas qu'il pleut. "
proverbe yiddish
08:47 Publié dans où mon taux d'adrénaline augmente | Lien permanent | Commentaires (1)
22/05/2014
C'était le Cabaret Poétique du 18 mai...
Vu par Josette Vial :
avec Didier Vignali, pour annoncer "Les Agapes Littéraires"
Marie-Hélène Tufel, Grégoire Damon, Michel Thion & Paola Pigani pour saluer l'ami Pierre Autin-Grenier...
Lucas Ottin
Estelle Dumortier
Yves Artufel (Monsieur "Gros Textes")
Laurent Cachard & Clara Védrèche
Le même Cabaret, vu par Béatrice Brérot :
Et, pour finir, ce Cabaret du 18 mai vu par le Non-Photographe (il est le premier à avoir volé quelques images de l'after qui, traditionnellement, se déroule dans ma cuisine, quelque part sur le plateau de la Croix-Rousse) :
Un retour sur Cabaret signé Laurent Cachard ICI.
Et n'oubliez pas les Agapes Littéraires de ce week-end !
20/05/2014
Remise à niveau (anglais) # 14
16:58 Publié dans où je trouve à rire | Lien permanent | Commentaires (0)
15/05/2014
Soixante jours pour écrire un nouveau roman
Je l'ai commencé à la fin avril. Nous verrons ce que nous verrons à la fin juin. Il ne devrait pas faire 200 pages. A vue de nez, entre 120 et 150 pages. Il ne s'agit pas d'un polar.
Cela fait plus de trois ans que je ne me suis pas attelé à un roman solo. Ces quarante derniers mois ont été consacrées à la poésie (six recueil écrits, trois déjà publiés) ainsi qu'à l'écriture d'un roman à quatre mains. Celui-ci, après avoir bel et bien dépassé les 400 pages, s'est embourbé pour de multiples raisons. Je l'ai actuellement mis en pause.
Autrement ? Cet article sympa signé Solko (Roland Thévenet).
Autrement ? Je trouve le printemps glacial cette année.
11:31 | Lien permanent | Commentaires (0)
13/05/2014
Passé / à venir
C'était... lors du Festival "Hallucinations Collectives", une table ronde consacrée à Hubert Selby jr, en compagnie de Ludovic Cantais et de Philippe Deschemin, à la librairie "Au bal des ardents". J'étais malade comme un chien, mais parler de Selby m'a comme qui dirait res-sus-ci-té. C'était également pour moi l'occasion de dire "merci" à Ludovic Cantais pour son aussi formidable que fauché que riche documentaire sur Selby.
C'était le 1er mai, chez Hélène Dassavray, et "C'était poésie". Et c'était très chaleureux.
Dimanche prochain, ce sera :
A l'occasion de ce Cabaret (au générique digne de Ben-Hur), un hommage très simple sera rendu à Pierre Autin-Grenier. Si vous avez envie de lire un texte de lui sur la scène du Périscope, faites-moi signe (frederick.houdaer@laposte.net) !
Dans quinze jours, le week-end du 23-24 mai, ce sera "LES AGAPES LITTERAIRES". Nous sommes un certain nombre à vous avoir concocté ce "off" des Assises Internationales du Roman. Le programme ci-dessous (cliquez sur les images pour les agrandir ou sur ce lien) :
Pour ma part, je soumettrai à la question Nicolas Le Breton samedi 23 mai vers 14h, et mettrai tout le Syndicat des Poètes qui vont mourir un jour en fâcheuse posture, ce même jour, vers 22h30.
12:25 | Lien permanent | Commentaires (0)
10/05/2014
"... n'avoir fait que du cabotage..."
" Qu'est-ce que je sais du désespoir ? Y-a-t-il lieu de fréquenter Kierkegaard pour analyser un désespoir d'enfant ? (...) Seule la nuit m'apparaissait comme immuable et je passais mes jours à l'attendre. Bien moins pour dormir que pour m'y creuser une tanière, avec un livre et une chandelle, à l'heure où tout se taisait dans la maison. J'avais appris seul à lire et à écrire, alors que se terminait la guerre. Au moins dois-je rendre à mes parents cette justice : la maison regorgeait de livres. Ce sont eux qui ont protégé mon enfance.
Comment me débarrasser enfin de cette impression tenace qui me hante de n'avoir rien appris, mais de n'avoir fait que du cabotage le long des rives de la connaissance. "
" J'ai rencontré vraiment, dirait Dhôtel, un homme qui était un arbre. Ses feuilles s'épanouissaient au printemps, elles le quittaient à l'automne et il se sentait nu comme s'il avait encore à naître. En hiver, prétendait-il, je disparais pour me reconnaître vivant en été. Ce qui me manquait durant la saison froide, c'était les oiseaux. Je les entendais sans les voir et mon épouse me traitait de sourd. Elle n'avait toujours pas compris que j'étais un arbre, et que le temps pour elle n'était pas le même que pour moi. Un beau jour, ou plutôt un triste jour, cette conviction d'être un arbre m'a quitté, et je suis inconsolable.
Je n'éprouvais pour ma part que le sentiment d'avoir à devenir un voyou. "
" En vérité chaque heure était apéritive. J'en venais à penser que la cavale avait du bon. "
08:55 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : brouillard, jean-claude pirotte
09/05/2014
Dans le creux...
00:01 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : dans le creux de ta main, détroit, bertrand cantat, solaris, georges clooney, steven soderberg, natasha mc elhone