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01/01/2022

Passer d'une année l'autre sur la rade...

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02/01/2021

Sur les étagères...

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... d'un bouquiniste toulonnais, Fallet fricote avec Fante.
Voilà, c'était ma bonne nouvelle de début 2021.
 

24/08/2018

Quelque chose comme ça...

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Pour le meilleur et le pire.

 

22/06/2018

Parution imminente...

Parution imminente de deux nouveautés poétiques au Pédalo Ivre pour vous accompagner sur le sable de votre plage toulonnaise, pour vous aider à bronzer sur les galets du Havre, pour vous servir de contrepoison lors du Festival de Sète...

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P.S : sans oublier la réédition du tout premier recueil de Grégoire Damon

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15/08/2016

King of Toulon

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" 2 juillet 1934

Une date : achat d’un pétard à Toulon, un 8 mm à barillet. Comme un jouet je le retourne, je le fais tourner à vide ; je le charge. Voilà un grand pas de fait. Le jour où je serai vraiment décidé, j’ai l’arme. "

Luc Dietrich (journal)

 

07/08/2012

VAR # 3

" 2 juillet 1934

Une date : achat d’un pétard à Toulon, un 8 mm à barillet. Comme un jouet je le retourne, je le fais tourner à vide ; je le charge. Voilà un grand pas de fait. Le jour où je serai vraiment décidé, j’ai l’arme. "

Luc Dietrich (journal)

 

D'autres notules sur Toulon, ici.

08/07/2012

VAR # 1

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En guise de carte postale toulonnaise, cet extrait de mon polar (inédit) « TRACEUSES » qui se déroule… devinez où.  

 

« Midi à l’horloge de la gare. Façades noircies par la pollution comme par un monstrueux fusain. Parfois, quelques tâches de rouge ayant viré au rose, des fringues qui sèchent aux balustrades, couleurs passées au soleil. Un, dix, cent volets fermés laissent filtrer vers l’extérieur les lumières inquiétantes de postes de télévision. Chaque pâté d’immeuble sert de coffrage à une centrale nucléaire en plein accident Tchernobyl.

Marion avance. Marche. Trace. La laideur comme un feu d’artifice permanent. Fausse blonde à l’âge indéterminé, Cine Sex Video, fausse blonde mangeant pizza, Elegance Canine, fausse blonde portant de vraies chaînes en or, Parfumerie Sandy, fausse blonde avec un méchant coquard, cinoche à la programmation 100% américaine, fausse blonde engueulant une autre fausse blonde, aloès albinos, fausse blonde sortant d’un hammam, plaque commémorative « Membres de l’Eglise Réformée de France morts pour la Patrie », fausse blonde crachant dans une fontaine à sec, bagarre dans le local des Associations des Harkis du Var, fausse blonde s’arrachant la peau bronzée de son bras droit contre le tronc d’un palmier, des fringues impossibles, toute une mode vestimentaire exhibant des zones érogènes parfaitement cramées, fausse brune… »

10:56 Publié dans a.2) MES TEXTES, polar | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : toulon

05/08/2005

Vendredi 5 août

Après Toulon, retour à Lyon. Dans mes toilettes, ce poster de l’Europe des 25. Les noms des villes y sont marquées suivant différentes polices. Les villes comptant de 100000 à 500000 habitants ont droit à des lettres de mêmes grosseurs. Bref, Toulon et Lyon ont exactement la même taille sur cette carte (cachant un mur en piteux état).

25/07/2005

Lundi 25 juillet

Je m’estiv’aille jusqu’à Toulon où un sacré bonhomme vient de mourir. Je devrais fêter mon 36ème anniversaire sur une aire d’autoroute.

Autrement, avant de partir en vacances, un site à visiter.

Et les propos d’un sinologue, François Julien :   

« En Europe, nous avons politiquement conquis le droit aux vacances, mais en avons-nous jamais conçu la notion ? (…) Partir en vacances, c’est cela : laisser à nouveau jouer, par-delà le clivage entre corps et esprit, une vitalité débarrassée de toute excitation fébrile. L’expérience est commune – je la partage avec les Chinois – mais voyez comme la pensée européenne reste un peu gourde pour s’en saisir. Descartes ou Kant ont bien approché l’idée, le premier lorsqu’il recommande de savoir " ne s’occuper qu’à imiter ceux qui, en regardant la verdeur d’un bois, les couleurs d’une fleur, le vol d’un oiseau, et telles choses qui ne requièrent aucune attention, se persuadent qu’ils ne pensent à rien. " " Ce qui ", martèle-t-il, " n’est pas perdre son temps. " Mais sur ce " penser à rien " vient mourir sa pensée. »