24/04/2020
Confinage Laurapalmerien #8
11:05 Publié dans où je trouve à rire, où je zieute des images qui bougent | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : twin peaks, lynch, david lynch
23/04/2020
Sensibilité
11:00 Publié dans où je trouve à rire | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : shining, kubrick, duvall
21/04/2020
Confinage Laurapalmerien #7
05:24 Publié dans où je zieute des images qui bougent | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : twin peaks, david lynch, lyn
20/04/2020
En 2019 (poème pas si vieux bien que daté)
dans le local S.A.V. de la F.N.A.C.
j’attends mon tour en
parcourant une affichette couverte
d’un maximum de dessins et d’un minimum de mots
réagir en cas d’attaque terroriste
je ramène un article récemment acheté
un lecteur C.D et cassette
vite tombé en panne
je le confie aux bons soins d’un jeune gars incrédule
il peine à croire que j’ai pu trouver une vieillerie pareille
dans son magasin
j’ai 49 ans
à mon âge
Rimbaud était déjà unijambiste
et mort
Johnny Cash avait demandé la main de sa June sur une scène londonienne
Bukowski continuait de boire
convaincu qu’il n’en aurait plus pour longtemps
ce en quoi il se trompait
(extrait d'un recueil à paraître)
07:20 Publié dans a.2) MES TEXTES | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : rimbaud, cash, bukowski, fnac
19/04/2020
Confinage Laurapalmerien #6
06:49 Publié dans où je zieute des images qui bougent | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : twin peaks, david lynch, lynch
17/04/2020
Deux prénoms
18:32 Publié dans oreillettes | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : christophe, jeanne, dumont
16/04/2020
Confinage Laurapalmerien #5
05:00 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : twin peaks, david lynch, lynch
15/04/2020
"Voyages" ?
« J’en vois. Prendre des notes est une espèce de maladie. Certains sont de vrais frénétiques. Mais ça n’a jamais rien donné de très remarquable – cette impression de refroidi, de vieux chewing-gums entre des mains hésitantes. Les choses doivent remonter d’elles-même, mériter leur place au grand jour. J’ai arrêté mes carnets pour cette raison. On ne peut valablement écrire que dans un sentiment de fragilité absolue. Et sans doute sauter dans un avion permet-il encore de récolter quelques détails subsidiaires, mais le plus gros doit être fait avant, quand on ne sait pas encore très bien où l’on va, que tout reste dans l’ombre, que tout est encore gratuit.
(…) Plus tard, la fiction s’impose naturellement. »
05:39 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : voyage, voyages, djian, philippe djian
14/04/2020
Confinement (intérieur / extérieur)
07:12 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : confinement, happe, jean-bapt


























