21/10/2019
Toshes sur Selby
"To begin to define Selby's brilliance and power, you have to go back to the rhythms of Homer, Hesiod, and Sappho; back to the dark and light and beauty of Dante; and back to what lay beyond and beneath that sign on the Belt Parkway from which he took the title of his first novel. Everything that Herman Melville, that other great ex-seaman, and no stranger to Brooklyn, is held up to be in the pantheon of American literature, Hubert Selby, Jr., is. What Moby Dick was to Melville's century, Last Exit to Brooklyn is to ours, and between the two, Selby's is the better book. If that be called heresy, know that it be called so only by those of the same dead mind as they who allowed Melville to die unknown. There are only a few American writers who are in Selby's league, and in a wholly different way: Peter Matthiessen at his best; Philip Roth, maybe, when he takes off his yarmulke. And if you want to talk about living fucking legends, when it comes to writers, Selby is the only game in town. I mean, this guy should be wearing fucking laurel leaves and pulling down a million a year."
Nick Toshes (parti le 20 octobre 2019)
03:41 | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : toshes, melville, moby dick, selby, matthiessen, american writers, roth, v.o
19/10/2019
Au coeur du Cabaret Poétique...
14:52 Publié dans a.5) ANIMATEUR DU CABARET POETIQUE, planches | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : houdaer, cabaret poétique, le périscope, frédérick houdaer
17/10/2019
"Simple et nue"
(…) j’ai toujours préféré la phrase simple et nue parce que j’ai toujours eu le sentiment que la Littérature, celle d’aujourd’hui et celle des siècles passés, était en grande partie truquée, tu vois, comme les combats de catch. Même ceux qui ont duré des siècles (avec quelques exceptions) m’ont donné l’étrange sentiment de m’être fait arnaquer. En fait, j’ai l’impression qu’il serait plus difficile de mentir avec la phrase nue, ça se lit d’ailleurs plus facilement, et ce qui est facile est bon et ce qui est difficile est emmerdant (ça m’est resté des usines et de la fréquentation des femmes).
Ainsi, Fante m’a donné la phrase sensible, Hemingway la phrase qui ne demande rien, Thurber la phrase qui se moque de ce qu’a fait l’esprit qui n’y pouvait rien faire ; Saroyan la phrase qui s’aime elle-même ; Céline la phrase qui coupe la page comme un rasoir ; Sherwood Anderson la phrase qui parle au-delà de la phrase. Je pense leur avoir à tous emprunté quelque chose et JE N'AI PAS HONTE DE L'ADMETTRE.
Charles Bukowski, « Correspondance 1958-1994 »
17:51 Publié dans carottages littéraires | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bukowski, fante, hemingway, sherwood anderson
16/10/2019
Danser avec les coudes, saluer...
17:45 Publié dans oreillettes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : stephan eicher, oh ironie
11/10/2019
C'était le Cabaret Poétique du 22 septembre 2019...
10/10/2019
Et ta journée ?
17:53 Publié dans où je trouve à rire | Lien permanent | Commentaires (0)
07/10/2019
Musée ?
04:51 Publié dans carottages littéraires | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : musée, umberto éco, eco
05/10/2019
PAYE TON KARMA
16:02 Publié dans où je trouve à rire | Lien permanent | Commentaires (0)
01/10/2019
Editions Le Clos Jouve (# 4)
Où (dans quelle librairie) trouver les premiers ouvrages des Editions Le Clos Jouve ?
A Paris ? Dans la légendaire LIBRAIRIE LE DILETTANTE, 7 place de l'Odéon 75006 Paris (métro Odéon)
A Lyon ?
Au "Livre en pente", 18 rue des pierres plantées Lyon 1er (métro X-Rousse).
Et, bien sûr, chacun de nos livres est commandable sur notre site.
07:20 Publié dans a.4) EDITEUR | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : le livre en pente, librairie le livre en pente, editions le clos jouve, librairie le dilettante