19/08/2019
Tarentinade
Tandis que tout le monde y va de son avis sur le dernier Tarentino (« Le chien de Brad Pitt joue mieux que sa voiture », « Non, c’est l’inverse ! »), je re-partage les quelques lignes que j’avais griffonnées à chaud sur « The hateful height » son avant-dernier film. Attention, critique de haute volée (étonnamment, j’y mentionne à deux reprises un metteur en scène qui apparaît comme personnage dans le « Once upon a time in Hollywood » sorti cette semaine) !
« Meilleur film de poudreuse depuis "Le bal des vampires" de Polanski.
Meilleure "pire dernière scène" depuis "Chinatown" (du même Polanski).
Meilleure "Exécution de Milady" depuis "Les trois mousketeer" de Richard Lester.
Meilleure scène de crucifix dans la neige...
Meilleur recyclage de musik de Morricone depuis... »
04:27 Publié dans où je zieute des images qui bougent | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : tarentino, the hateful eight, les huit salopards, once upon a time in hollywood, polanski, brad pitt
18/08/2019
"La belle et la bête" # 2
18:33 Publié dans où sont rangées diverses notules incasables | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : la belle et la bête, shrek, maurice tillet
17/08/2019
Ultraviolence
07:01 Publié dans où je trouve à rire | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cecil aldin
03/08/2019
Remise à niveau (english) # 112
14:11 Publié dans où je trouve à rire | Lien permanent | Commentaires (0)
02/08/2019
"Nous vivons dans..."
02:47 Publié dans carottages littéraires | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : eluard, paul éluard, the naked lunch, cronenberg, burroughs, william burroughs
01/08/2019
"La nue-propriété plutôt que l’usufruit..."
J’emploie les mots à la source, dans leur innocence première. La nue-propriété plutôt que l’usufruit. Mais ce sont de pieux coquins et qui me jouent des tours pendables. Dès qu’on ne les a plus à l’œil, ils vous cherchent noise, font des fugues. Et caméléons avec ça ! Tantôt ils ne montrent que leur panache blanc, tantôt que leurs entrailles. Et leurs malices étymologiques. D’avoir fait le poisson dans le secondaire ils gardent quelque écaille, et quelque plumasserie d’avoir hanté le ptérodactyle. Par-delà le dictionnaire, ils ont leur tempérament. À force de fréquenter les hommes, de partager nos aventures et l’odeur de nos amours, ils ont attrapé quelque hommerie : ce sont de petits hommes.
Voyez comme “amoureux” vous a un air tendre, tandis qu’“amant” met les pieds dans le plat.
(…)
Il y a aussi les expressions toutes faites, parfois fertiles en perspectives savoureuses ou équivoques…
Joseph Delteil
10:42 Publié dans C.A.P de lettres | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : delteil, joseph delteil, miller, henry miller
31/07/2019
"La belle et la bête" # 1
10:44 Publié dans où sont rangées diverses notules incasables | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : la belle et la bête, coccteau, jean cocteau, jean marais, homme singe
25/07/2019
Cinquante
Georges Lucas, à l'occasion de son cinquantième anniversaire, posant avec ses potes de rami. Certains ont fait plus d'efforts vestimentaires que d'autres.
A cet instant, Georges Lucas ignore ce que son avenir lui réserve. Il ignore qu'il finira racheté par Disney. C'est pourtant ce qui nous attend tous : être racheté par Disney.
Autrement ? Un mien texte sur le sujet.
00:27 Publié dans où je trouve à rire | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ron howard, spielberg, scorcese, de palma, georges lucas, zemeckis, coppola
23/07/2019
"L'Homme que fut Blaise Cendrars"
(...) Le Mercure de France, revue alors célèbre, aujourd'hui enterrée, et qui devait considérer qu'elle faisait beaucoup d'honneur aux poètes en publiant leurs œuvres, car lorsque Blaise s'est présenté à la caisse pour toucher sa pige, on l'informa sans commentaires que Le Mercure ne payait pas les poésies. A quoi la victime, qui courait après un sou de cuivre, s'est exclamée sans ambages :
- Merde ! mettez-les en prose et donnez-moi cent sous !
"L'Homme que fut Blaise Cendrars", A.t'Serstevens. Ed. arléa.
(…)
Nous avions bien autre chose à faire que nous mêler au monde des lettres; il occupait fort peu de place dans nos entretiens. Un vrai marin ne s'attarde pas volontiers à parler de la mer, mais des terres où elle l'a mené.
19:48 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : blaise cendrars, cendrars, l'homme que fut blaise cendrars, a.t'serstevens, éditions arlea