10/06/2014
Marché de la Poésie, Place Saint-Sulpice, Paris...
Je serai à Paris du vendredi 13 au mardi 17 juin (Marché de la Poésie, expo "Mousquetaires" aux Invalides, Marche pour la fermeture des abattoirs...) et signerai mes livres place Saint-Sulpice sur le stand de la Passe du Vent (stand n°210) le samedi 14 juin à 17h30.
Mes amis(hs) parigots peuvent me contacter au 06 43 09 15 10
Pour mémoire, ce passionnant reportage que j'ai consacré au Marché de la Poésie l'an dernier... Il m'a valu le Pulitzer, mais je n'ai pas trop voulu la ramener à l'époque.
Autrement ? L'heure n'est pas qu'aux crachats, il y a même des saluts qui font du bien, beaucoup de bien...
06:27 Publié dans SIGNATURES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : marché de la poésie, true detective, jérôme leroy, prix pulitzer, la passe du vent, place saint-sulpice, paris
04/06/2014
"C’est aux faibles de cœur qu’il faut un avantage..."
« Guerre ouverte, et non point tant de subtilités :
C’est aux faibles de cœur qu’il faut un avantage.
Pourquoi me caches-tu le ciel de ton visage
De ce traître satin, larron de tes beautés ?
Tu caches tout, hormis les deux vives clartés
Qui m’ont percé le cœur, ébloui le courage ;
Tu caches tout, hormis ce qui me fait dommage,
Ces deux brigands, tyrans de tant de libertés ;
Belle, cache les rais de ta divine vue,
Du reste, si tu veux, chemine toute nue,
Que je voye ton front, et ta bouche et ta main.
Amour ! que de beautés, que de lys, que de roses !
Mais pourquoi retiens-tu tes pommettes encloses ?
Je t’ai montré mon cœur, au moins montre ton sein. »
12:13 Publié dans C’est quoi, la poésie ? C’est ÇA, Ducon ! | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : d'aubigné, agrippa d'aubigné, poésie, amour, visage, beauté, rose, sein, liberté, courage, guerre, brigand, avantage, coeur
03/06/2014
Quelques titres de tableaux de Georges Rouault…
... notés dans mon calepin lors d’une visite à l’expo bouleversante organisée il y a quelques mois au Musée de Fourvière. C’est peu dire que ces quelques titres forment, sinon le plus beau des poèmes, en tout cas quelque chose de… mais n’employons pas de mots qui fâchent. En tout cas, pas dans cette notule-ci.
« En tant d’ordres divers, le beau métier d’ensemencer une terre hostile. »
« … sous un Jésus en croix oublié là »
« … son avocat, en phrases creuses, clame sa totale innocence… »
« au pays de la soif et de la peur »
« Dame du Haut-Quartier croit prendre par le ciel place réservée »
« Des ongles et du bec »
« En bouche qui fraîche, goût de fiel »
« Fille dite de joie »
« Femme affranchie, à quatorze heures chante midi »
« Le juste, comme le bois de santal, parfume la hache qui le frappe »
« Plus le cœur est noble, moins le col est raide »
08:55 Publié dans pigments & pixels | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : georges rouault, rouault
29/05/2014
Une nouvelle critique !
" Avec Frédérick Houdaer, on est dans le court-circuit permanent et cela dès l’exergue de ce livre où voisinent deux citations, l’une de Witold Gombrowicz et l’autre de … Walt Disney ! Un peu plus loin dans le recueil, le journal L’Equipe est en balance avec le dernier recueil de poèmes de l’un de ses amis. Disons que c’est peut-être à cela que l’on reconnaît vraiment un poète affranchi des règles de bienséance dictées par le poétiquement correct. Mais tout cela ne doit pas masquer l’originalité de cette parole actuelle qui ose faire bouger les lignes tout en témoignant de menus faits d’une existence déchirée. Il s’interroge sur le pouvoir que peuvent avoir les poètes face aux situations complexes. « A quoi servent les poètes ? » s’interroge-t-il, et lui, parmi les autres, doutant, observant ses semblables lors de rencontres poétiques ou dans une file d’attente à la CAF, s’interrogeant depuis 44 ans comme il le signale dans l’émouvant dernier poème du livre. Et même si Houdaer déclare « n’écrire que pour quelques-uns », sa poésie est très ancrée dans le réel et pas seulement à la Croix-Rousse à Lyon où plane le fantôme ricaneur de Pierre Autin-Grenier pour qui l’éternité est toujours inutile."
Georges Cathalo, revue Texture
Commander l'ouvrage ? ICI
16:59 Publié dans a.1) MES LIVRES | Lien permanent | Commentaires (0)
27/05/2014
Bébert sur la Canonnière du Yang-Tsé
08:25 Publié dans où je trouve à rire | Lien permanent | Commentaires (0)
26/05/2014
Et ça ne vaut pas qu'en politique...
" Si on te crache à la gueule, ne dis pas qu'il pleut. "
proverbe yiddish
08:47 Publié dans où mon taux d'adrénaline augmente | Lien permanent | Commentaires (1)
22/05/2014
C'était le Cabaret Poétique du 18 mai...
Vu par Josette Vial :
avec Didier Vignali, pour annoncer "Les Agapes Littéraires"
Marie-Hélène Tufel, Grégoire Damon, Michel Thion & Paola Pigani pour saluer l'ami Pierre Autin-Grenier...
Lucas Ottin
Estelle Dumortier
Yves Artufel (Monsieur "Gros Textes")
Laurent Cachard & Clara Védrèche
Le même Cabaret, vu par Béatrice Brérot :
Et, pour finir, ce Cabaret du 18 mai vu par le Non-Photographe (il est le premier à avoir volé quelques images de l'after qui, traditionnellement, se déroule dans ma cuisine, quelque part sur le plateau de la Croix-Rousse) :
Un retour sur Cabaret signé Laurent Cachard ICI.
Et n'oubliez pas les Agapes Littéraires de ce week-end !
20/05/2014
Remise à niveau (anglais) # 14
16:58 Publié dans où je trouve à rire | Lien permanent | Commentaires (0)
15/05/2014
Soixante jours pour écrire un nouveau roman
Je l'ai commencé à la fin avril. Nous verrons ce que nous verrons à la fin juin. Il ne devrait pas faire 200 pages. A vue de nez, entre 120 et 150 pages. Il ne s'agit pas d'un polar.
Cela fait plus de trois ans que je ne me suis pas attelé à un roman solo. Ces quarante derniers mois ont été consacrées à la poésie (six recueil écrits, trois déjà publiés) ainsi qu'à l'écriture d'un roman à quatre mains. Celui-ci, après avoir bel et bien dépassé les 400 pages, s'est embourbé pour de multiples raisons. Je l'ai actuellement mis en pause.
Autrement ? Cet article sympa signé Solko (Roland Thévenet).
Autrement ? Je trouve le printemps glacial cette année.
11:31 | Lien permanent | Commentaires (0)