31/01/2023
Remise à niveau (english) #173
04:18 Publié dans où je trouve à rire | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : english, lire, lecture
25/01/2023
"CHEZ ELLE"... chez vous (suite)
N'hésitez pas à photographier votre exemplaire en situation, chez vous... et à m'envoyer le cliché (frederick.houdaer@laposte.net)
Vous n'avez pas encore reçu CHEZ ELLE ? C'est ici.
Autrement, lundi prochain (le 30), lors de la Rentrée littéraire de janvier, je présenterai mon dernier roman à la Villa Gillet. Plus de précisions, là.
06:52 Publié dans a.1) MES LIVRES | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : chez elle, sous le sceau du tabellion, éditions sous le sceau du tabellion, houdaer, villa gillet, rentrée littéraire
20/01/2023
F.F. né un 20 janvier
08:40 Publié dans Boussole, Ephéméride | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : fellini, federico fellini, simenon
19/01/2023
"T'inquiète..."
16:09 Publié dans où je trouve à rire | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : true detective
16/01/2023
Revoyure de...
Revoyure de Y a-t-il un français dans la salle ? (Mocky, 1982).
Le genre ? « Drôle de comédie pas drôle » ? Film de monstres ? Méchante farce bancale ? Cinéma à la papa (très) pervers ? Jeu de massacre raté ?
Jacqueline Maillant et Victor Lanoux (en président plus mitterrandien que l’original) sont excellents. Dutronc ou Cavanna mauvais comme des cochons. Il suffit de deux scènes à Emmanuelle Riva pour faire exister son personnage. Dufilho est parfait, comme d’hab’. Et Stévenin campe l’une des pires ordures de toute l’histoire du cinéma français.
Problème : Mocky bâcle énormément sa mise en scène malgré un budget conséquent, et une bande-son intéressante. Quand on choisit le parti-pris de la lourdeur systématique, on soigne le rythme au moins. Tenter des scènes dégueulasses, pourquoi pas, mais à condition d’avoir un minimum d’intérêt (je n’ose pas parler d’empathie) pour ses personnages.
La fin, fidèle à celle du roman de Frédéric Dard, est atroce sur tous les plans. Et forte. Mais on ne parle pas de Chinatown, là.
Conclusion : mieux vaut relire San-Antonio. En commençant par La vieille qui marchait dans la mer, par exemple.
05:37 Publié dans où je zieute des images qui bougent | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : la vieille qui marchait dans la mer, mocky, san-antonio, frédéric dard, lanoux, maillan, chinatown, stévenin, dutronc, cavanna, mitterrand, dufilho, riva
14/01/2023
"CHEZ ELLE"... chez eux
04:15 Publié dans a.1) MES LIVRES | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : chez elle, sous le sceau du tabellion, éditions sous le sceau du tabellion, houdaer
13/01/2023
Un nouveau roman pour bien démarrer l'année ?
19:47 Publié dans a.1) MES LIVRES | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : chez elle, houdaer, sous le sceau du tabellion, éditions sous le sceau du tabellion
"Madame Brisset semblait sincère..."
- Marc ressemble à mon mari, dit madame veuve Brisset. Il est parfaitement bon, mais c’est une tête de pioche ! Comme enfants, c’est ceux qu’on aime le plus. Comme maris, enfin, je ne sais pas. Les hommes m’ennuient trop. Carole, presque autant que les femmes !
Madame Sauveterre eut un cri élégant de plaisir. Elle avait été mariée plusieurs fois : elle aimait énormément les hommes, en ce temps-là, et les bons plats, les bons lits, les armoires remplies du plus beau linge de maison, les vies quotidiennes aimablement composées, les maris décents, affables et chastes. Elle avait divorcé trois fois, et son quatrième époux était mort tout seul. Celui d’avant l’avait extraordinairement ennuyée : malgré son visage et ses bonnes manières, il avait un sexe énorme qui faisait très mal et, après quelques années, il se mit à cracher dans la cheminée. Quel imbécile !
(…) Madame Brisset semblait sincère.
- Il y a sept ans, donc, dit Carole Sauveterre (…) Il y a eu mon veuvage, et, je ne sais pas pourquoi, ça ne m’a pas aussi bien réussi qu’à vous.
- Probablement, ce n’était pas le même homme, ni la même femme, dit Oriane Brisset.
04:50 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : duvert, tony duvert, un anneau d'argent à l'oreille
05/01/2023
Sans réfléchir...
03:37 Publié dans où je zieute des images qui bougent | Lien permanent | Commentaires (1)