13/12/2019
Entre nous soit dit... # 2
Et si... mes amis z'auteurs qui jamais ne saluent d’autres z'œuvres que la leur, jamais sur leur site ne tire leur chapeau à d’autres z'écrivains, jamais ne glissent le moindre lien, jamais n’assument leurs z'ardoises, jamais ne rappellent que d’une façon ou d’une autre ils appartiennent à une chaîne, commettaient la pire des erreurs ?
05:24 Publié dans où mon taux d'adrénaline augmente | Lien permanent | Commentaires (1)
12/12/2019
"PROFESSION ROMANCIER", le nouvel essai de Murakami...
05:58 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : murakami, essai, profession romancier, haruki murakami
11/12/2019
Dans quelques mois...
… mes trois premiers recueils de poèmes (« ANGIOMES » 2005, « ENGELURES » 2011 et « ENGEANCES » 2012) reparaîtront EN UN SEUL VOLUME aux éditions « La Passe du vent », sous le titre « ANGES PROFANES » et avec une préface de Jean Marc Flahaut.
Merci à ceux qui ont cru en moi.
22:08 Publié dans a.1) MES LIVRES | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : angiomes, engelures, engeances, anges profanes, jean marc flahaut, la passe du vent
"Le clan des Siciliens"
Souvenir d'un petit échange père-fille, avant que je ne me repasse « Le clan des siciliens ».
- C’est bien, le film que tu veux voir, papa ?
- C’est vieux.
- Vieux comment ?
- Le film a été tourné avant ma naissance....
- OH, PUTAIN !
05:22 Publié dans où je zieute des images qui bougent | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : le clan des siciliens, delon, verneuil
09/12/2019
Remise à niveau (english) # 115
05:09 Publié dans où je trouve à rire | Lien permanent | Commentaires (0)
C'était la manif du jeudi 5 décembre...
04:06 Publié dans a.4) EDITEUR, politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : manif, jindra kratochvil, editions le clos jouve, le clos jouve, philippe bouvier
08/12/2019
Seriously ?
14:03 Publié dans où je trouve à rire | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pacino, de niro, the irishman, scorcese
04/12/2019
B.B.B.
« Il faut en France beaucoup de fermeté et une grande étendue d’esprit pour se passer des charges et des emplois, et consentir ainsi à demeurer chez soi et à ne rien faire. Personne presque n’a assez de mérite pour jouer ce rôle avec dignité, ni assez de fonds pour remplir le vide du temps, sans ce que le vulgaire appelle des affaires. Il ne manque cependant à l’oisiveté du sage qu’un meilleur nom ; et que méditer, parler, lire et être tranquille s’appelât travailler. »
La Bruyère
11:58 Publié dans carottages littéraires | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : la bruyère, the big lebowski