UA-136760349-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

26/03/2008

Pré-faire-part de naissance…

… ou une tentative de définition de la nouvelle collection, aux éditions « À plus d’un titre ».

La collection « À Charge » est dédiée à une littérature noire, vibrante et contemporaine (Soulages définit le « noir » comme une couleur contenant toutes les autres couleurs).

Dans la collection « À Charge » se croisent, s’entrechoquent différentes voix, différents styles, différentes fictions qui ne craignent pas de se frotter au monde réel. Pour preuve, les deux premiers romans qui y sont publiés explorent deux marges bien différentes : l’une rurale (« LES RUINES DE LA FUTURE MAISON », roman solaire d’Hélène Dassavray), l’autre urbaine (« CURTIS », coup de hache signé Dominique Salon).

Sans Hubert Selby jr, Dominique de Roux ou Bukowski (pour n’en citer que trois), la collection « À Charge » n’existerait pas. Sans Alain Léger non plus.

17/02/2008

1920

« Il est possible que le livre soit le dernier refuge de l’homme libre. Si l’homme tourne décidément à l’automate ; s’il lui arrive de ne plus penser que selon les images toutes faites d’un écran, ce termite finira par ne plus lire. Toutes sortes de machines y suppléeront : il se laissera manier l’esprit par un système de visions parlantes ; la couleur, le rythme, le relief, mille moyens de remplacer l’effort et l’attention morte, de combler le vide ou la paresse de la recherche de l’imagination particulière : tout y sera, moins l’esprit. Cette loi est celle du troupeau. Le livre aura toujours des fidèles, les derniers hommes qui ne seront pas faits en série par la machine sociale. »
André Suarès, 1920

31/01/2008

ÉDITIONS À PLUS D’UN TITRE, COLLECTION À CHARGE

Les deux premiers contrats ont été signés, les textes retravaillés, les couvertures choisies...

Pour l'heure, je vous copie-colle simplement ce dessin que l'on m'a envoyé pour clore cette période de voeux.

adc70ea819f6cd6b8741dc215c2f38ef.jpg

23/12/2007

avant Noël

Des nouvelles de la collection de romans noirs dont je m’occupe, pour les Editions « A Plus d’Un Titre » :

Naissance officielle début 2008, avec la parution de deux titres. Six titres prévus dans l’année.

Diffuseur : Court-Circuit (qui, entre autres, diffuse les films de Pierre Carles).

Le fait que je tienne avec moins de régularité ce blog, que je tarde à répondre aux uns et aux autres, n’est évidemment pas mauvais signe. Au contraire.

5801c3c216b6151a92f41285a60f8f43.jpg

26/11/2007

DÉFERMETURE DE CE BLOG & NOUVELLE IMPORTANTE

Donc, ça rouvre. La pause aura duré le temps… non pas d’achever mon manuscrit en cours, mais de lui faire passer une étape déterminante dans sa rédaction.

Et puis… SURTOUT…

a)     J’ai trouvé une nouvelle façon de me dépenser sans compter… et sans gagner un kopeck.

b)    Par la même occasion, j’ai également trouvé un moyen inédit pour me fâcher avec des amis… en refusant leurs manuscrits !

Bref, je suis devenu directeur de collection (c’est écrit en relief, sur la plaque dorée). Directeur d’une collection de romans noirs qui n’auront comme unique point commun que la qualité de leur écriture.

C’est Alain Léger, tenancier-libraire d’A Plus d’un Titre, qui m’a tendu la perche. Les éditions « À plus d’un titre » publiaient jusqu’alors (petit tirage, super lectorat) du très littéraire, de la poésie, des rééditions d’introuvables…

La collection de romans noirs dont je m’occupe à présent touchera un public plus large mais conservera la même exigence. Le prix des bouquins restera très raisonnable. Les bouquins n’auront que leur prix de raisonnable.

J'ai cinq manuscrits à faire publier en priorité (signés de garçons & filles d'âges et de profils divers). Cinq merveilles que j'avais poussées à "La Fosse aux ours", qui ont intéressé des éditeurs aussi divers que Viviane Hamy ou Actes Sud... sans être retenues au final.

Les faiblesses de la maison « À plus d’un titre » sont nos points forts. Nous n’avons de compte à rendre à personne. Et compte tenu des cinq premiers titres que j’ai sous le coude… À notre échelle, cela va faire mal.