31/10/2017
LyonnÈseries # 2
07:05 Publié dans LyonnÈseries | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : crue du rhône, rhône, lyon, inondation
29/10/2017
Des images du lointain...
... et pas de "mauvaises nouvelles des étoiles"...
- Ca te rajeunit pas, ça.
- C'est pas le but, Cindy.
05:58 Publié dans oreillettes | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : gainsbourg, serge gainsbourg, 1969
28/10/2017
Vrac de vrac # 45
08:00 Publié dans a.4) EDITEUR | Lien permanent | Commentaires (0)
26/10/2017
Remise à niveau (english) #77
06:22 Publié dans où sont rangées diverses notules incasables | Lien permanent | Commentaires (0)
25/10/2017
La Folie d’Alekseyev
“… Tu connais, Alekseyev, toute la beauté de tes prototypes rugueux. Tu sais tout ce que ton idée a de magique. Énivré, baigné depuis l’enfance par la grandeur des mots d’avenir de la Révolution et par cette certitude d’un autrement possible, tu as travaillé, déformé et agrandi l’espace physique que l’homme connaissait de toute éternité. Tu as créé de toutes pièces une autre dimension, une nouvelle strate d’univers entre ciel et eau et ce monde-là existe réellement aujourd’hui. Tu imposeras tes machines au monde, citoyen ingénieur Alekseyev. Par tous les moyens ; ce choix-là ne t’appartient même pas. Tu combattras toute contrariété, toute loi physique, toute bureaucratie politique ou militaire. Tu rejetteras au néant les siècles passés de navigation et les années d’aviation de l’humanité mais tu feras s’élever les bateaux hors de l’eau et voler les avions sur les flots. Tu offriras aux hommes tes ekranoplanes qui ne sont ni du sol ni de l’air. Il existe un mot dans notre langue russe qui signifie Volonté mais aussi Liberté. Et celui-là te fait encore vibrer. воля. Cette foi absolue est ta beauté, mon ami ; ta terrible beauté de lumière et d’abîme.”
Jean-Baptiste Cabaud
06:40 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : la folie d’alekseyev, jean-baptiste cabaud
24/10/2017
"Et cela sert à quoi ?"
Finir de se lamenter, de s’en prendre à la sottise et au tragique de l’existence. Il y a beaucoup trop à dire et cela sert à quoi ? N’ouvrir plus l’œil que sur les filles, les oiseaux, la lumière, les couleurs joyeuses, la propreté, une petite maison de l’ancien temps, les arbres en feuilles, les beaux buissons, quelques livres, des fruits, un plat de bon goût, un verre de vin, et si on y tient des plantes, la violette des bois par exemple, la renoncule des marais, les giroflées, la joubarde. Les hommes de bonne violence sont trop éphémères. Concluons tout de même avec Villiers de l’Isle Adam : « On s’en souviendra de cette planète ».
Je me force donc à rire, même jaune ; à sourire, même de travers ; à chanter, même faux ; à danser, même sur les pieds du partenaire ; à plaisanter, même sottement.
Louis Scutenaire, « La cinquième saison »
00:00 Publié dans carottages littéraires | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : scutenaire, louis scutenaire
23/10/2017
- Non mais...
08:23 Publié dans Boussole | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : le gué éditions, arnaud desjardins, lee lozowick, stephen jourdain, gilles farcet, denise desjardins, swami prajnanpad
22/10/2017
Saison oblige
15:49 Publié dans où sont rangées diverses notules incasables | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : mon enfance
19/10/2017
D.D.
05:55 Publié dans où je zieute des images qui bougent | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : danielle darrieux, madame de, max ophuls