11/02/2014
François Villon (parlant français - enfants non admis)
Ici, Jean-Paul Bourre vous raconte François Villon mieux que... qui ? Qui pour vous parler de Villon, aujourd'hui ? On a les super-héros que l'on mérite.
07:28 Publié dans C.A.P de lettres | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jean-paul bourre, françois villon, villon, serge reggiani
28/05/2013
Une anthologie de gars qui ont fait pleurer leur mère
De François Villon, "tout aux tavernes et aux filles" et devant répondre d'un "homicide de chaude mêlée" à Jean Genet , d'Apollinaire (qui ne s'en remettra pas) à Verlaine, sans oublier Brasillach (Ô, mon Dieu !) & Maurrras (re-Ô, mon Dieu !), tout un panorama d'auteurs que ne font même plus semblant de lire les profs de français d'aujourd'hui.
Verlaine en prison ?
« Quand il ne trie pas de café, il lit la Bible, il traduit Shakespeare, donne des leçons de français à son gardien ; il rêve de théâtre, correspond avec Lepelletier qui, en France, édite les Romances sans paroles à 500 exemplaires dont il organise très soigneusement le service de presse en graduant les « hommages de l’auteur » et le « bien cordialement ». Aucun des destinataires ne lui répond. Pas un article ne fait mention du livre. Il est mort pour le Tout-Paris littéraire. »
Il sort de prison le 16 janvier 1875. Sur sa fiche de « comptabilité morale », on peut lire à la date de sa libération :
« Pratique religieuse, religieuse à la fin
Métier appris : néant
Aptitude au travail : néant
Caractère : faible
Moralité : assez bonne
Conduite : régulière
Amendement : probable »
13:00 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : poètes en prison, jean genet, brasillach, françois villon, charles d'orléans, verlaine, maurras
29/03/2013
« satané » langage noble
" Villon, Gérard de Nerval, Gongora me paraissent avec le grand Baffo, des sujets de réflexion actuelle quant à la technique poétique. Unir le langage populaire, le populaire, à une atmosphère inexprimable, à une imagerie aiguë : annexer des domaines, qui même de nos jours, paraissent incompatibles avec le « satané » langage noble qui renait sans cesse des langues nobles arrachées du cerbère galeux qui défend l’entrée du domaine poétique, voilà qui me paraît besogne souhaitable sans oublier, je le répète, certains motifs impérieux d’inspiration actuelle… "
Robert Desnos
06:44 Publié dans carottages littéraires, C’est quoi, la poésie ? C’est ÇA, Ducon ! | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : poésie, langage, robert desnos, desnos, villon, françois villon, gérard de nerval, nerval, gongora