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07/12/2014

Vrac de vrac # 23

 Une règle d'or. La meilleure chose à prendre dans ce "Livre du courtisan". Pour le reste... Je n'ai pas fait de ce livre un mode d'emploi (contrairement à certains).

Pas très loin, un entretien avec Jean-Louis Murat : "Je ne suis pas un chevalier blanc, je vois juste la pourriture du système".

Une interview encore plus inouïe, celle de Pasolini quelques heures avant sa mort.

Autrement ? Ecouter cette émission économique consacrée aux mille et un financements des mouvements terroristes... et se dire que nous, les petits éditeurs de poésie, avons encore bien des choses à apprendre. En tout cas, moi, j'ai pris des notes.

Nous retrouver ? Une lecture très prochaine (entrée libre) :

lecture.jpg

Pour l'occasion, je lirai plusieurs textes inédits.

Et une chansonnette pour la route :

 

10/12/2011

Le dernier Murat

jeanlouismuratgrandlivr.jpg

L'article de Laurent Cachard & celui de Ludovic Maubreuil.

Un entretien avec l'artiste (âmes frelatées s'abstenir).

 

17/11/2007

Samedi 17 novembre

En vrac:

Signature tout le week-end au festival Sang d'Encre à Vienne. J'y ai reçu une superbe proposition professionnelle à laquelle je n'ai su dire que "oui, amen". A suivre... (les points de suspension, ce n'est pas pour entretenir le suspense, c'est juste par superstition).

Quelques nouvelles bobines & citations dans mon album "Sherpas" (sur la droite de l'écran), quelques oublis impardonnables comblés avec beaucoup de retard.

Un nouveau lien dans la colonne des "Passerelles": Hank Blême

Pour finir, cerise sur le gâteau, cette interview de Jean-Louis Murat dans Le Monde. Deux pages à lire absolument.

 

04/04/2005

Quais du polar (2)

Suite du feuilleton « Quais du polar » :

Mon texte « Quais du polar ou Si vous raté le début » (voir plus bas) a circulé. Il a été bien reçu. D’abord, par la première concernée, la responsable politique dont il est question (très « politique », et très peu « responsable »).

Un colis dans ma boîte aux lettres. J’attends d’être remonté chez moi pour l’ouvrir. Tandis que je déchire son emballage et découvre le dernier livre que l’ami Pascal Garnier m’envoie, j’entends une femme s’étrangler sur mon répondeur (la fameuse responsable politique) « Je ne suis pas du genre à tendre l’autre joue, vous verrez quand… ». Elle n’a pas de chance, la bande de mon répondeur lui coupe la parole au beau milieu de sa menace. Au moment où cela devenait le plus intéressant.

Je pose l’ouvrage de Pascal (« Flux », chez Zulma) sur mon ordinateur. Je ne suis pas sans ami(e). Ni sans ennemi(e). Ni sans solitude. De quoi me plaindrais-je ? Est-ce qu’un type qui écrit a besoin d’autre chose ?

J’ouvre mon autre boîte aux lettres (sur Internet) : 62 messages depuis hier (dont 20 spams).

Sur ma table, le manuscrit d’un gros roman qui attend d’être réécrit de la première à la dernière page. Heureusement, il ne s’agit pas d’un polar. De ce côté là, quelque chose me dit que quelques portes (vermoulues) se sont fermées.

Il y a ces phrases de Jean-Louis Murat (extraites d’une interview) que j’ai recopiées il y a quelques mois :

« Quand je dis ce que je pense, je mets un pied dans la beauté, le territoire que je veux habiter. »