05/01/2005
Mercredi 5 janvier
Alice et Arthur (sept ans à eux deux) émerveillés par « Barbie et Casse-Noisette ». Moi, émerveillé par la phrase de Nimier.
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01/01/2005
samedi 1er janvier 2005
Il y a deux ans, j’achevais une résidence d’auteur de trois mois à Montréal. Souvenir de cette boulimie de lecture de classiques français qui m’a saisi au cœur de cette ville unique mais incontestablement américaine par de nombreux aspects. Je n’ai retrouvé Selby, Brautigan et cie qu’une fois revenu à Lyon !
Je continue aujourd'hui à associer Montaigne ou le Cardinal de Retz à Montréal.
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02/06/2002
ILS VEILLENT
ILS VEILLENT
Comédie noire. Un huit-clos dans une résidence de personnes âgées, ou « les Pieds-Nickelés à Mamiland ». D'un côté, une bande de sauvageons. De l'autre, d'increvables nonagénaires. Faites vos jeux… Éditions Vauvenargues, collection Faits Divers,
5,45 euros, ISBN 2-74430-7653
Revue de presse:
« FRÉDÉRICK HOUDAER LE JOUEUR Il y a ceux qui, gardant plusieurs portes ouvertes, ne savent pas vraiment quoi faire de leur vie. Lui, il n’a eu qu’une porte d’entrée dans l’existence : être écrivain. La maladie de l’écriture l’a pris tout petiot : à huit ans et demi, mesdames, messieurs, Frédérick Houdaer écrit ces deux premières nouvelles. Deux histoires très tristes sur un faucon au Moyen-Âge. Il faut dire que dès l’âge de six ans son père le laissait dans la bibliothèque pour adultes de Reims où ils habitaient à l’époque. Pratique : elle est ouverte même le dimanche. Reclus, le petit Frédérick s’invente un monde dans les livres. Ce sera sa vie. À sept ans il raconte le soir des histoires à son petit frère pour l’endormir. La vision d’un documentaire sur Jules Verne à la télé sonne le glas : il sera écrivain. Quand il revoit La Nuit du Chasseur aujourd’hui, il se dit que ce n’est rien d’autre que le plus grand documentaire jamais réalisé sur son enfance. Un père absent, une atmosphère où la religion est omniprésente : sa mère, scientifique pure et dure, finit par devenir Témoin de Jéhovah. En cachette de son père, il fait du porte à porte mystique jusqu’à l’âge de quatorze ans. Autodidacte complet, il se sépare du lycée en terminale et se glisse définitivement dans l’écriture. Un premier livre qu’il ne finit pas à dix huit ans et six mois plus tard, un vrai roman aussi achevé que son titre : Jérémie Bonnevay ou la conscience défigurée des derniers enfants terribles ! Il rit encore de sa naïveté, mais passe sous silence l’aplomb qu’il lui fallait pour aligner 450 pages. « Je me suis dit si je n’ai pas 180 pages, ce ne sera pas un roman ». Il l’envoie partout, personne ne répond. « Je crois vraiment avoir cumulé tous les défauts d’un premier manuscrit. J’ai le sentiment d’avoir été très loin dans la lourdeur ! » Par réaction à ce flot d’humour involontaire, il écrit ensuite des nouvelles. Le genre lui convient mieux, il se sent plus capable d’être rigoureux. Frédéric Dard a un coup de cœur pour l’un de ses recueils. Il a 22 ans. Le temps de la publication n’est pas encore là, mais ça ne va plus tarder. À l’aise dans le genre noir, il perd sept kilos en écrivant comme un fou furieux « L’idiot n°2 » pour le Serpent à Plumes. Bouquin archi-violent sur la prison, il triture son écriture dans un style haché et baroque mâtiné d’humour très noir. « Je ne lisais que du Michaux à l’époque. Ça mettait la barre un peu haut mais au moins ça m’obligeait à la concision. ». S’il n’est pas autobiographique, L’idiot n°2 reste pour lui son livre le plus personnel, fier de la justesse avec laquelle il a réussi à parler de l’univers carcéral. La Grande Érosion sera moins bien reçue. Dommage, l’idée ne manquait pas de piment : « Je voulais faire un Twin Peaks provincial, franchouillard. J’imaginais Twin Peaks filmé par Chabrol, ce qui change tout ». Le mélange, la fantaisie, l’humour, Frédérick Houdaer n’en manque pas, et l’idée de changer de genre comme de lectorat l’amuse. « Le genre noir est suffisamment ouvert pour que je ne m’y sente pas trop à l’étroit. Mais il n’y a rien de pire pour moi que les gens qui écrivent du noir et qui ne lisent que du noir. Ce serait suicidaire pour moi. » Il poursuit sa route, écrit de la poésie, « du mauvais théâtre aussi », trois pièces dont il ne retient qu’une à la lourdeur assumée « Un sécateur pour Raspoutine », du « sous Alfred Jarry très efficace ». Lyonnais depuis l’âge de onze ans, c’est finalement une conférence à la Villa Gillet sur « la duplicité du romancier » qui va lui procurer de la façon la plus inattendue son nouveau rôle littéraire. Une connaissance lui propose de participer à la collection « Faits Divers » de… Gérard de Villiers ! Il a trois mois pour exécuter la commande. En un mois il écrit l’histoire de Sébastien Poligozzi, sorte de Vautrin de province qui joue au curé malfaiteur pour pallier aux inconvénients de son divorce ! Autobiographie déguisée, Je viendrai comme un voleur, s’il reste pour lui le plus faible de ses trois bouquins du point de vue de l’écriture, est aussi son livre le plus ludique, le plus lisible, auquel il reste pour cela très attaché. « C’est mon premier bouquin que ma mère finit de lire ! ». Il se plaît à conquérir un public complètement différent. « C’est un bouquin que tu trouves dans les relais H, dans les gares, mais vraiment dans les coins qui craignent le plus, juste à côté des bouquins pornos. C’est le vrai bouquin de gare ». Si la légèreté est un art auquel il accède aujourd’hui, il n’en reste pas moins lui-même : il se refuse à prendre un pseudo et a l’intelligence de ne surtout pas jouer à l’anticlérical primaire. Bourré d’humour, Je viendrai comme un voleur s’amuse à être une métaphore parfaite du romancier, rempli de private jokes et d’observations sur la vie de province. Il se fait un devoir d’apporter une noblesse à une collection qui en manquait sérieusement et a déjà écrit le suivant qui se déroule entièrement dans une résidence pour personnes âgées. « Gérard de Villiers m’a fait un gros chèque pour un bouquin où des mamies parlent de paquets de papillotes périmées pendant tout un chapitre ! Je trouve ça magnifique. » Luc Hernandez, LE PETIT BULLETIN, janvier 02
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02/12/2001
JE VIENDRAI COMME UN VOLEUR
JE VIENDRAI COMME UN VOLEUR
Suite à un divorce ruineux, Sébastien Poligozzi devient le Père Cocciante pour vider de nombreuses églises de leurs trésors, de Lourdes à Nevers. Il n'est pas certain que ses victimes gardent un mauvais souvenir de lui. Éditions Vauvenargues, collection Faits Divers,
5,45 euros, ISBN 2-74430-629 0
Revue de presse :
JE VIENDRAI COMME UN VOLEUR « UN DRÔLE DE CURÉ Question scénario, il y a du Jean-Pierre Mocky dans cette histoire-là, signée Frédérick Houdaer, un jeune auteur lyonnais auquel on doit déjà deux romans noirs. Quelque chose du Drôle de paroissien et du Miraculé. (…) Quand on fait connaissance avec Sébastien Poligozzi, il est dans de sales draps. C’est Daniel dans la fosse aux lions. Sa femme, celle-là même qui l’a détourné du séminaire de Saint-Just et de sa vocation religieuse, décoche ses traits venimeux devant un juge et des jurés. Cloué au pilori, qu’il s’en trouve, notre Sébastien. L’entrée en matière d’une procédure de divorce traitée comme une marche au martyre donne le ton à un roman policier écrit dans la légèreté et l’humour. La suite ne déçoit pas, toute de drôlerie et d’esprit d’à propos. L’on s’y amuse du picaresque récit de l’imposture du père Cocciante, dévaliseur de porte-feuilles et pilleur d’églises. Un modèle du genre, cette imposture, dans laquelle Sébastien Poligozzi s’épanouit retrouvant les gestes, les mots, la tournure d’esprit d’un ministère dont l’ont privé la convoitise féminine et sa coupable faiblesse masculine. Frédérick Houdaer a la distance amusée et l’humour pince-sans-rire. Il sait placer ses effets, même gros, sans trop d’insistance, fureter à l’aise dans le paradigme du religieux, filer la métaphore avec constance, trouver la comparaison inattendue, jouer du sens propre et figuré des mots, ou encore émailler son texte de quelques plaisanteries privées (Bretin et Bonzon, Garnier, Chambre 12, Frédéric de Boncour, en clair et en crypté, ce sont là quelques signes amicaux à d’autres jeune sromanciers lyonnais), ou à stigmatiser les méfaits de la télévision, une invention qui sûrement a à voir avec le Malin. Bref, cocasse, léger, savoureux, et agréablement écrit, Je viendrai comme un voleur est un polar comme on les apprécie. » Nelly Gabriel, LYON-FIGARO, 15 octobre 01 « (…) L’auteur s’amuse, jubile à l’idée d’un faux prêtre voleur, blasé, cynique, déglingué. Un petit blasphème ici, juste une petite provocation facile, on ne se refuse rien, ou pas grand chose. Frédérick Houdaer ne s’encombre pas d’esbroufe, dans la noble lignée du polar de gare de banlieue (Laurent Bonnevay ou Vénissieux, dans le genre), il habille son héros d’une panoplie de curé et lui allume les neurones avec les ors et l’argent des églises de « Catholand » (…). » Étienne Faye, 491, novembre 2001 LE COMMANDER? C'EST ICI.
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02/06/2000
LA GRANDE EROSION
LA GRANDE ÉROSION (black sotie) Au commencement était un nouveau club des cinq. Vincent, Juan, Héraclès, Le Maestro et Caféine. Ils tenaient entre leurs mains de nombreux pouvoirs, au sein de la ville de Charmy. Et voilà qu'ils perdent tout... Éditions La Passe du Vent,
17,53 euros, ISBN 2-84562-011X
Ce qu'en pense la presse :
LA GRANDE ÉROSION (black sotie)
« N’était ce ro au lieu de va, le titre ne manque pas d’évoquer illico le film où les acolytes de Mc Queen, Bronson & co tentent par tous les moyens de trouver une issue aux camps de la mort. Le deuxième roman de Frédérick Houdaer n’en est d’ailleurs pas si éloigné puisqu’il retrace, depuis la pas-si-tranquille-que-ça bourgade de Charmy, le parcours d’une sorte de Club des Cinq –version bibliothèque noire – qui, de faiseur de cité, va peu à peu s’entortiller dans ses manigances, ses relations, et finalement se trouver contraint à l’exode, loin des repères favorisant l’exercice de ses pouvoirs habituels. À savoir : Vincent tient le bar branché de la ville ; les truands, tel Juan l’homme de main, et les artistes, tel Caféine le scribouilleur, y fricotent allègrement, gérant leurs affaires à même le zinc, à la barbe des journalistes qui pour seuls scoops récupèrent les résidus de la mise en scène ; à l’entrée, le videur Héraclès, un doux colosse overbuildé qui adore la déesse Athéna ; en face du bar enfin, le théâtre, temple du Maestro, flamboyant metteur en scène qui se joue de l’actualité et possède un bras long jusqu’au maire. Au milieu des Cinq, dans le rôle de la semeuse de zizanie, la belle Agnès, une comédienne aussi volage qu’indiscrète, qui entraîne l’irruption d’un gourou. « L’agente trouble » disparaît et les cinq virent paranos. Ils se mettent en quête du charlatan, direction un ashram breton. Mais de la quête à la cavale, il n’y a qu’un pas, celui d’une grande illusion qui avait besoin de sortir de son microcosme pour se déclarer… « Black sotie », c’est à dire farce noire -un genre d’humour sorti tout droit d’un effet de Manche-, la Grande Erosion est une jolie miniature de quartier qui joue des codes du polar comme du vaudeville. Houdaer esquisse une tectonique de dépendances relationnelles typiques, une glissade en pente douce qui conduit inéluctablement ses personnages vers leur destination. De là le recul scénographique, l’effet de manipulation qui fait d’eux des pantins, si risibles, si humains. »
Marc Jéru, LIVRE ET LIRE, juin 2000
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30/05/1999
L'IDIOT N°2
Dosto, vingt ans, est incarcéré à Shitland. Dans sa cellule, Abdel-Sammy, un sage, et Richard Sebasteni, "le nouveau Dreyfus".
Rapide, déjanté, nerveux, un texte dérangeant et atypique dans la lignée du meilleur néo-polar à la Fajardie.
Éditions Serpent à plumes, collection Serpent Noir,
9 euros, ISBN 2-84261-114-4
Vu par la presse :
« DOSTO LE SIMPLE Dosto est incarcéré à Shitland pour un braquage foireux. Il a laissé dehors Fanny Charpentois, son aimée, fille d’un politicien véreux qui la viole depuis le début de son adolescence. Un matin, lors d’une messe retransmise en direct, Fanny dénonce son père. Elle s’enfuit chez une amie artiste. Si Dosto est un « simple », un différent, tendance zen, l’ensemble du livre relate une violence inouïe dans les rapports humains. On se parle mal dans L’idiot n°2 et le seul moyen de gagner la paix est de s’isoler, se retirer du monde. Étrange roman noir, qui a du style à l’évidence et qui fait froid dans le dos. » Cathy Bouvard, LYON-CAPITALE, 21 04 99 « RASPOUTINE EST MORT, DOSTO L’A TUÉ Dosto, c’est le nom du héros, un nom d’emprunt qui rime avec le titre. N°2, tout de même. Un héros absent, retiré du monde, non par nécessité mais par fatalité. Un braquage foireux. La prison comme asile moderne des simples d’aujourd’hui. C’est là que séjourne Dosto tout au long du premier roman de ce jeune auteur, et après, sans doute. C’est là qu’il se redécouvre, morceau par morceau, détail par détail (« une chose à la fois, connard », première phrase de son Evangile), jusqu’à reconstituer ce qu’il est, contre la violence du monde et celle de la télévision, qu’il abhorre. « Pendant ce temps », serait-on tenté de dire, une jeune femme, sa fiancée, ruine la carrière de son père (…). Tout le monde aux abris, il (le monde) est devenu fou ! Un polar néo, mais néo quoi ? Si le sérieux se prend parfois un peu trop au jeu, les scènes sont montées au couteau, jusqu’à une impressionnante mutinerie de prison qui gagne peu à peu d’autres établissements pénitentiaires d’une France qui ressemble parfois à celle, post 68, de Pouy dans Spinoza encule Hegel. Moins politique toutefois. Nous sommes en 1999, les héros subversifs tournent au zen, même en prison. » M.Begah-Faure, LIVRE ET LIRE « Lentement, la collection de poche du Serpent à Plumes prend ses quartiers pour nous coffrer des romans noirs plutôt spéciaux. Par son écriture rapide, ses séquences serrées, le Lyonnais Frédérick Houdaer, veilleur de nuit professionnel, décontenance. L’histoire de ce mec appelé Dosto (surnom d’un malfrat, Daniel Liège pour l’état civil, curieux non ?) s’articule autour de son enfermement et de la télé qui retransmet en direct les confidences d’une fille qui saisit la divine occasion pour révéler en public les actes de son père à son égard. Gros scandale puisque son père est un notable plutôt trafiquant d’armes. (…) Grosse bagarre, poursuite, déraillement à un tel degré que la fille réussit à se retrouver en prison, à quelques pas de notre Dosto qui avec ses potes se trouvait en pleine mutinerie. En gros, voilà le topo d’un roman dont la bizarrerie égale l’intérêt. L’auteur est inconnu et pourtant il mérite une attention future. Un veilleur de nuit a du temps pour écrire des romans noirs. » G.Delhasse, LE MATIN, quotidien belge du 31 05 99 « Le jeune lyonnais Frédérick Houdaer a écrit plusieurs textes littéraires. Soutenu par Frédéric Dard, il entretient une véritable passion pour la littérature. Avec ce roman, il nous fait découvrir le monde carcéral et le milieu mondain. Dosto, vingt ans, est incarcéré pour une attaque à main armée. Sa fiancée Fanny Charpentois ne l’a pas laissé seul. Cette jeune femme violée depuis son enfance par son père, entretient une haine qui se transformera en vengeance. Dosto, enfermé entre quatre murs avec ses copains de cellule, observe, lit des œuvres zen et tente de comprendre le moindre fait, le moindre geste, le moindre souffle sur sa vie, il ne veut pas sombrer dans l’habitude. Grâce à ses lectures, à ses réflexions, aucun jour ne se ressemble, aucune minute n’est égale à la précédente. Le lecteur suit ses pensées, ses pas dans cette prison. Il ne veut pas de prison intérieure et s’échappe par la philosophie. Tout va vite, les scènes sont dignes d’un scénario. Le va et vient entre l’intérieur et l’extérieur s’emboîtent. On veut savoir si chacun parviendra à réaliser son destin. Ce polar est remarquable par les scènes. Chaque personnage étudié avec soin nous donne un regard visionnaire sur la liberté. La mutinerie de la prison, le massacre, chacun sera libéré de sa prison. À garder dans sa bibliothèque pour le relire. »
Pascale Vannereux, NOTA BENE, mai 99
« Action. Noires les horreurs dans une ville où une marionnette a pris l’habitude de bastonner un gendarme pour la plus grande joie des enfants. (…) Au final, on reste assez éloigné de Fedor D. mais l’écriture de ce jeune auteur transpire une envie corrosive de vitrioler les rapports de pouvoir qui régissent sa belle ville de province. La nôtre ? » Zine, 491, avril 99 « Un roman plutôt étrange, pas vraiment un polar. Le récit fragmenté, le dialogue presque théâtral, le jargon décapant, tout contribue à décrire un monde de violence et de désespoir, celui de la prison. (…) Ce qui frappe, c’est le style direct et immédiatement agissant qui se fait jugement du monde et déclaration de guerre. Cela donne du charme et légitime l’écriture de Frédérick Houdaer. » Andrea Genovese, LE BELVEDERE, juin 99 « Frédérick Houdaer s’essaye ici avec bonheur à l’art du roman noir. (…) » L’AMOUR DES LIVRES, guide magazine Poches & Policiers 99 « (…) Grinçant et dérangeant, le premier roman de Frédérick Houdaer s’articule à merveille. »
LIRE MAGAZINE
Critiques sur la toile : http://ileconte.free.fr/houdaer.htm
http://97938.aceboard.fr/97938-1131-23116-0-quot-idiot-qu...
Premières pages du roman : http://lepapyrus.free.fr/rencarts/fhoudaer1.htm
LE MAKING-OFF DE "L'IDIOT N°2"
Le commander? C'est ici.
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