27/08/2018
Délit de sale...
07:21 Publié dans où sont rangées diverses notules incasables | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : gueule, ma gueule, gilles thibaut, miossec
26/08/2018
"... l'une des rares occasions..."
« La guerre est merveilleuse. Ils ne l’éradiqueront jamais. C’est l’une des rares occasions dans lesquelles les gens peuvent donner le meilleur d’eux-mêmes. Il y a une telle économie de gestes, de mouvements ; chaque geste est précis, chaque effort est porté à son maximum. Personne ne glande. Chaque homme est responsable de son frère. Il y a ce sens de la communauté, de la famille, de la fraternité, du dévouement. On peut sentir des choses tout bonnement impossibles à ressentir dans la vie urbaine moderne. C’est très impressionnant. »
Leonard Cohen (1973, pendant la guerre de Kippour)
08:16 Publié dans carottages littéraires | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : leonard cohen, cohen, kippour, guerre
25/08/2018
Remise à niveau (english) # 100 !
16:31 Publié dans où sont rangées diverses notules incasables | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : sexy, non, french
24/08/2018
Quelque chose comme ça...
09:04 Publié dans où sont rangées diverses notules incasables | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : toulon
20/08/2018
Oksana Chatchko
22:14 Publié dans où sont rangées diverses notules incasables | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : oksana chatchko, femen
18/08/2018
Tu plonges loin ?
06:51 Publié dans où sont rangées diverses notules incasables | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : edmond dulac, la petite sirène
16/08/2018
Selby
Ceusses qui ont lu "Armaguédon Strip" savent/devinent ce que je dois à John Fante lu et relu depuis une trentaine d'années.
Pour le roman en cours d'écriture, celui qui m'aide à hausser la barre, c'est LUI (également découvert pendant mon adolescence).
De l'écriture comme d'un art brut. Ce qui n'exclut pas les influences, bien au contraire...
05:54 Publié dans C.A.P de lettres | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : selby, hubert selby jr
14/08/2018
Georges Cathalo (revue Texture)...
... évoque "CINéMA INFERNO" (article complet) :
" À travers le cinéma, un hommage permanent rendu à l’imagination et au rêve : « je me fais des films sur les films / que je n’ai pas vus », et finalement comme tout un chacun, « j’ai rêvé / que le cinéma redevenait muet / tout en restant en couleurs ». On sourira en lisant l’avertissement initial ou la note finale… Quant au poète, il « n’a pas de doublure / et accomplit lui-même / toutes les cascades que requiert son histoire ». Les titres défilent, les films se rembobinent. Inutile de se lancer dans une enquête policière pour savoir quel est l’auteur de chacun de ces poèmes car les deux auteurs-complices ont effacé toutes les traces. "
(Photo : prise par mes soins devant un mur bruxellois le 8 août 2018)
06:35 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cinéma inferno, jean marc flahaut, georges cathalo, bruxelles, jeanne moreau, clint eastwood
Couple
- Le couple, c’est une notion très récente…
- Ah, ouais ?
- Oui. Autrefois, il y avait l’individu, bien sûr. Et la famille. L’individu ET la famille. Le reste, le couple, le bonheur, l’épanouissement dans le couple, tout ça, c’était secondaire, voire… C’était pas la question.
- Ah, ouais ?
- Le couple, c’est une préoccupation moderne, c’est ça que je veux te dire. Faut pas en faire l’alpha et l’oméga……
- Ah, ouais ?
- Non, mais… Arrête de répéter sans cesse « Ah, ouais ». Ça ressemble pas à un dialogue ce qu’on est en train de faire…
- C’est pas un dialogue, en fait. Ça tombe bien que ça n’y ressemble pas.
05:56 Publié dans a.2) MES TEXTES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : couple