23/09/2017
Guttierez (bis)
« J’étais en train d’abandonner tout ça, d’envoyer au diable la prose élégante et mesurée, celle qui évite tout ce qui pourrait ressembler à une atteinte à la morale et aux bonnes manières. Le respect, je n’en pouvais plus. (…)
Et je me sentais bien dans cet immeuble puant, avec ces gens qui n’étaient aucunement cultivés, aucunement intelligents, qui ne connaissaient rien de rien et qui résolvaient tout – ou compliquaient tout – avec des cris, des gros mots, de la brutalité, des coups. C’était comme ça, point final. »
Pedro Juan Gutierrez
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22:25 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : gutierrez, pedro juan gutierrez
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