29/11/2012
(Non) pensée du jour
De retour du Festival International de Poésie, je me demande comment certain(e)s trouvent la force de continuer à écrire de la poésie... alors que l'U.M.P. est au bord d'exploser comme une vieille biscotte entre les mains d'un Michel Serrault pleurnichard.
Dans le doute, je vais faire comme eux.
06:10 Publié dans politique | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
Eh oui, L'UM pète !
Écrit par : Christian Cottet-Emard | 29/11/2012
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