26/06/2017
Frédéric Sauser
Il n’y a plus d’unité
Toutes les horloges marquent maintenant 24 heures après avoir été retardées de dix minutes
Il n’y a plus de temps.
Il n’y a plus d’argent.
À la Chambre
On gâche les éléments merveilleux de la matière première
Octobre 1913
08:48 Publié dans où je lis | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : cendrars, blaise cendrars, dix-neuf poèmes élastiques
Commentaires
Cendrars : indispensable !
si la poésie du XXeme siecle avait suivi la route qu'il avait tracée on se serait moins emmerdés et poésie n'aurait pas été synonyme de truc chiantissime !
Écrit par : roger | 28/06/2017
C.Q.F.D ! Merci, Roger.
Écrit par : Frédérick Houdaer | 29/06/2017
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