10/11/2016
C'est moi ou...
... "nos" journalistes, ils étaient tout chose hier ?
" S’il fallait un signe, un seul, qu’ils (les médias) sont irréformables, et ne comprendront jamais, c’est celui-ci : tous les envoyés spéciaux des médias mainstream français qui se sont délocalisés aux Etats-Unis pour couvrir l’élection se sont installés... à New York. Au milieu des gratte-ciel, des financiers, des journalistes, des éditeurs et des think tanks, c’est-à-dire à l’endroit des Etats-Unis où le phénomène Trump est le plus opaque. Où les rideaux sont les plus hermétiquement clos sur le peuple américain. Pas un seul ne s’est installé à Flint ou à Detroit, c’est à dire au cœur du nouveau trumpisme. "
Daniel Schneidermann (la suite de son article ICI)
Manquait plus que les politiques français, manquait plus qu'un Raffarin pour nous parler de "la Ligne de Front de la Raison" (sic et re-sic). ça ne vous fait pas furieusement penser à une autre Ligne, Maginot de son petit nom ?
Autrement ? J'aime beaucoup les losers (surtout les "beautiful losers" de Leonard ou ceux filmés par un Peckinpah ou un Schatzberg). Mais Hollande "ayant une pensée pour Hillary Clinton", c'est tou meutch' pour moi.
Un homme s'en prend aux journalistes lors d'un meeting de Donald Trump à l'Union Lackawanna College Student à Scranton, en Pennsylvanie, le 7 Novembre, 2016.
05:19 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : daniel schneidermann, trump, donald trump, musée cassel, art flamand
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